L'ENFANT PRODIGE. L'ENFANT QUI AURAIT DÛ COMME SA MÈRE, FAIRE DANS LE BALLET UNE GRANDE CARRIÈRE. SEULEMENT IL AVAIT ÉTÉ ÉPARGNÉ, AVAIT ÉTÉ PROTÉGÉ. PROTÉGÉ DU MONDE EXTÉRIEUR ET DE SON VICE.  CE QU'IL FAISAIT, C'EST LUI QUI L'AVAIT DÉCIDÉ. POSER DEVANT L'OBJECTIF, FAIRE LE BEAU, ÊTRE PAYÉ POUR AVOIR UN SI JOLI FACIÈS. ÊTRE ADULÉ, APPRÉCIÉ, DÉSIRÉ OU HAÏ TOUT ÇA PARCE QU'IL AVAIT HÉRITÉ DE LA BEAUTÉ DE SA MÈRE. OU PEUT ÊTRE DE SON PÈRE, CELUI QU'IL N'AVAIT JAMAIS CONNU. ILS AVAIENT ÉTÉ AIMÉS, ET BEAUX, LUI AUSSI L'ÉTAIT. BIEN QU'À LEUR DIFFÉRENCE, LUI ON NE L'AVAIT PAS VOULU. ON NE LE VOULAIT PEUT ÊTRE TOUJOURS PAS, D'AILLEURS. ET SANS DOUTE POUR ÇA, QU'IL PAPILLONNAIT AUTANT. QU'IL LES AIMAIT AUTANT. LES HOMMES. CES HOMMES QU'IL MALMENAIT TANT QU'IL LES AIMAIT. ÇA AUSSI C'ÉTAIT PEUT ÊTRE DE SA MÈRE, QU'IL LE TENAIT.